SDH SUPPORTS Pierre Mikaïloff ! CE SOIR "KICK OUT THE JAMS, MOTHERFUCKERS !" punk rock 1969-1978 vernissage mardi 15 mai à 18h30 POINT FMR
lire en bas (message perso-public pour Bester L. et Pierre M...)
proposition proposée par Pierre Mikaïloff
à l’occasion de la sortie de son ouvrage
"Kick out the jams, motherfuckers ! punk rock 1969-1978"
aux Éditions Camion Blanc
Photographies de Alain Dister, Pierre Terrasson, Eric Debris, Caroline Grosos,
Maurice Wagener et Dorian Rollin.
exposition du 15 au 28 mai 20WTF
tous les jours de 14h à 19h
entrée libre
vernissage ce mardi 15 mai à 18h30
+ débat mardi 22 mai à 19h
Punk rock - 35 ans de No Future
musique, art et contexte social - New York, Paris, Londres
BESTER LANGS de GONZAÏ
est prié de venir ce soir au vernissage, j'ai un cadeau vintage pour lui .
Le même cadeau sera fait à Pierre Mikaïloff pour le débat!
RAPPEL : "TH ressemble à un père Noël de supermarché auquel aucun parent ne confierait son gamin. La plupart du temps je ne fais plus attention à ce qu’il me raconte, les illustres inconnus qu’il connait et qui forment la « Hype » parisienne, l’armée de musiciens dépressifs cold-cream, d’écrivains pédants façon dix huitième ou de journalistes accros à la coke"
source = http://gonzai.com/palavas-vegas-thierry-theolier-et-moi
FIN DU MESSAGE : A CE SOIR! JE RAMÈNE LA BS.
Punk rock - 35 ans de No Future
musique, art et contexte social - New York, Paris, Londres
Il y a 35 ans, un mouvement underground nommé punk rock accédait à la reconnaissance médiatique. Il allait choquer, déranger et provoquer le monde des plus de trente ans - les straights, comme les appelait Alain Pacadis -, mais surtout, générer l’éclosion de nouveaux talents en marge de l’art officiel.
Les artistes issus du punk feront de leurs défauts des qualités, en inventant un système de valeurs inversé, et de leurs maladresses, un style.
Cette approche, qui redonne à l’amateurisme ses lettres de noblesse, s’applique à la musique, mais aussi à la peinture, la littérature, le journalisme, le graphisme, le stylisme, le cinéma et la photographie.
Fidèle au spirit of 77, cette exposition réunit le travail de photographes professionnels et non-professionnels : Alain Dister, Pierre Terrasson, Eric Débris, Maurice Wagener, Caroline Grosos et Dorian Rollin.
Il suffisait d’être là, avec une guitare, un boîtier argentique ou une caméra Super 8, à ce moment particulier de la contre-culture des seventies où il se passait enfin quelque chose, le besoin de prendre la parole, l’emportant sur la technique et le savoir-faire.
Alain Dister a documenté le mouvement dès ses prémisses, de l’arrivée des New York Dolls à Paris, aux premiers balbutiements de la scène du CBGB’s.
Pierre Terrasson a documenté la période new wave, post punk et gothique.
Eric Débris, membre fondateur de Métal Urbain, dévoile ici pour la première fois des photos inédites qu’il a shootées en 1976 et 1977 (Asphalt Jungle, Stinky Toys, Eaters, Chrissie Hynde…).
Maurice Wagener avait 18 ans en 1977 et passait son temps entre Bruxelles et Londres, son reflex ne le quittait jamais.
Caroline Grosos était proche des scènes parisienne et londonienne, notamment des Slits et des Guilty Razors. Elle a réalisé de nombreuses photos dans des squats londoniens, au Gibus ou lors de soirées privées.
Dorian Rollin est strasbourgeois et assista à de nombreux concerts d’Alan Vega ou de Johnny Thunders au Bandit, club mythique aujourd’hui fermé.
Pierre Mikaïloff est commissaire d’exposition et auteur.
Les artistes issus du punk feront de leurs défauts des qualités, en inventant un système de valeurs inversé, et de leurs maladresses, un style.
Cette approche, qui redonne à l’amateurisme ses lettres de noblesse, s’applique à la musique, mais aussi à la peinture, la littérature, le journalisme, le graphisme, le stylisme, le cinéma et la photographie.
Fidèle au spirit of 77, cette exposition réunit le travail de photographes professionnels et non-professionnels : Alain Dister, Pierre Terrasson, Eric Débris, Maurice Wagener, Caroline Grosos et Dorian Rollin.
Il suffisait d’être là, avec une guitare, un boîtier argentique ou une caméra Super 8, à ce moment particulier de la contre-culture des seventies où il se passait enfin quelque chose, le besoin de prendre la parole, l’emportant sur la technique et le savoir-faire.
Alain Dister a documenté le mouvement dès ses prémisses, de l’arrivée des New York Dolls à Paris, aux premiers balbutiements de la scène du CBGB’s.
Pierre Terrasson a documenté la période new wave, post punk et gothique.
Eric Débris, membre fondateur de Métal Urbain, dévoile ici pour la première fois des photos inédites qu’il a shootées en 1976 et 1977 (Asphalt Jungle, Stinky Toys, Eaters, Chrissie Hynde…).
Maurice Wagener avait 18 ans en 1977 et passait son temps entre Bruxelles et Londres, son reflex ne le quittait jamais.
Caroline Grosos était proche des scènes parisienne et londonienne, notamment des Slits et des Guilty Razors. Elle a réalisé de nombreuses photos dans des squats londoniens, au Gibus ou lors de soirées privées.
Dorian Rollin est strasbourgeois et assista à de nombreux concerts d’Alan Vega ou de Johnny Thunders au Bandit, club mythique aujourd’hui fermé.
Pierre Mikaïloff est commissaire d’exposition et auteur.
BESTER LANGS de GONZAÏ
est prié de venir ce soir au vernissage, j'ai un cadeau vintage pour lui .
Le même cadeau sera fait à Pierre Mikaïloff pour le débat!
RAPPEL : "TH ressemble à un père Noël de supermarché auquel aucun parent ne confierait son gamin. La plupart du temps je ne fais plus attention à ce qu’il me raconte, les illustres inconnus qu’il connait et qui forment la « Hype » parisienne, l’armée de musiciens dépressifs cold-cream, d’écrivains pédants façon dix huitième ou de journalistes accros à la coke"
source = http://gonzai.com/palavas-vegas-thierry-theolier-et-moi
FIN DU MESSAGE : A CE SOIR! JE RAMÈNE LA BS.