Auto-promofion ! Interview dans LE BONBON NUIT nov "2000 WTF"
NIGHTIVISME
p.38
http://issuu.com/lebonbonnuit/docs/lebonbonnuit36
Ecoutez le premier acte de l'album "2000 What The Fuck"
et les remix/edits sur
http://nukod.bandcamp.com
Le nouveau clip : l'anticlip "Terminus des minus"
Il est toujours salutaire de faire un tour du côté de chez Thierry Théolier. Tout d'abord, le dude aime défoncer à tout-va quand la nuit parisienne s'institutionnalise et clôture ses lignes de fuites libertaires. Nous assisterons donc lors de cet entretien à un cartouchage en bonne et due forme de l'initiative bureaucratico-administrative du Maire de la Nuit.
Ensuite, il serait dommage de cantonner le personnage sous la simple figure du Hater, puisqu'il traîne derrière lui une longue chaîne de M.A.J artistiques. Avec pour dernier maillon, un bug discographique nommé 2000 What The Fuck.
Avant d'attaquer l'interview, quelques mots sur 2000 WTF. Prononcer Deux-mille What The Fuck en insistant bien sur le Ze Fuck parce que la génération post 9/11 se l'ai bien fait mettre. Sur une techno faussement low-cost, Thierry Théolier programme sa langue en open source façon sprechgesang et géométrise le long de ses 6 tracks (et 4 remixes) le néant du post-modernisme.
Comment dès lors échapper au Nihil ? Sans doute en créant son propre Nihil, comme l'atteste les patterns sémantiques du morceau phare de l'album, Corporate Prayer. « Oh Dieu, faites que je ne réussisse pas... » On aime ou on n'aime pas, Théolier s'en branle, il occupe les interstices.
Ensuite, il serait dommage de cantonner le personnage sous la simple figure du Hater, puisqu'il traîne derrière lui une longue chaîne de M.A.J artistiques. Avec pour dernier maillon, un bug discographique nommé 2000 What The Fuck.
Avant d'attaquer l'interview, quelques mots sur 2000 WTF. Prononcer Deux-mille What The Fuck en insistant bien sur le Ze Fuck parce que la génération post 9/11 se l'ai bien fait mettre. Sur une techno faussement low-cost, Thierry Théolier programme sa langue en open source façon sprechgesang et géométrise le long de ses 6 tracks (et 4 remixes) le néant du post-modernisme.
Comment dès lors échapper au Nihil ? Sans doute en créant son propre Nihil, comme l'atteste les patterns sémantiques du morceau phare de l'album, Corporate Prayer. « Oh Dieu, faites que je ne réussisse pas... » On aime ou on n'aime pas, Théolier s'en branle, il occupe les interstices.
Et ce n'est que le premier acte, nous sommes prévenus.
Michaël Pécot-Kleiner
Michaël Pécot-Kleiner
p.38
http://issuu.com/lebonbonnuit/docs/lebonbonnuit36
Ecoutez le premier acte de l'album "2000 What The Fuck"
et les remix/edits sur
http://nukod.bandcamp.com
Le nouveau clip : l'anticlip "Terminus des minus"