3ème impression pour Le Dudisme Frenchy avec article dans Le Monde + sortie ACT IV

Bonjour,



Des nouvelles du quai de la Loire.




Quel pied-noir qui a le sens de la fête, subventionné par la CAF (collectif d'artistes sans œuvres), arrive avec un petit livre à remettre à sa place (la banque) dans Le Monde, Jeff Koons et ses « suckereries » ?

Amateur.e.s de Macronnade, la réponse ici !

Limite extrême, j'ai encore planté un deuxième marronnier dans la presse culturelle. Après la hype, son formatage artistique, ses privilèges (« fermer sa gueule »), voilà le Go Slow du 19ème et ses bienfaits partout, même en province.




J'annonce aussi tranquillou la sortie physique du CD de l'ACT IV du projet de poésie pop sonore « 2000 What The Fuck » gravé selon la commande, au hasard des rencontres, comme ici à La Station (Kitty Cottus voir ci-dessus...) ou à la Brasserie du Parc, pendant Le Vendredi des Dudes (repas fraternel animé depuis bientôt quatre ans), un petit retour sur les actes précédents et je vous laisse...





REVIEW 2000 WHAT THE FUCK : TROIS ACTES


ACT III _ « (...) la scène indé continue son bonhomme de chemin. Pas spécialement plus punk qu’auparavant, ni même plus en colère, mais toujours aussi vivifiante. Thierry Théolier, et son univers dudesque, évolue dans cette sorte de second marché comme un poisson dans l’eau, avec un style garanti sans concessions. » Suite

ACT II_ « A l’instar d’un R Steevie Moore, TH aime rester chez lui. Faire le dude, « duder dans son antre », au lieu d’aller dans un cocktail inepte où il convient de se montrer pour exister. R Steevie Moore honore ses commandes d’albums auto-produits par voie postale directement chez ses fans, un par un, sans intermédiaire. Les disques deviennent alors des objets rares et précieux, ils ne sont pas gravés à la chaîne, ils ont tous été manipulés par l’auteur. Les albums de TH sont fabriqués et distribués de la même manière. Faits dans sa maison, livrés dans la vôtre. » Suite

ACT I _« Corporate Prayer, namedrop avec des accents religieux, toutes les raisons d'échouer plutôt que de perdre son âme. Son impitoyable « Terminus des minus » est le plus cinglant memento mori d'une génération qui tombe amoureux devant un écran et attend la fin d'un téléchargement pour commencer à vivre. Son « Suckers » défonce l'hédonisme YOLO quand il se détourne de l'autre. « Comme des putes », hymne cyberpunk et queer, suggère une nouvelle théorie de la jeune fille. « Bug », autobiographique, raconte l'apprentissage du grand oui sauvage adressé à la vie. L'épique « Traversez » se vit comme une impérieuse échappée existentielle, peut-être aussi comme le prologue enchanté au « Terminus des minus ». Suite

Je vous souhaite une bonne fin d'année et merci de votre attention pour ce mail.

Dudesquement.


†H†H