BNF OPEN DATA

 A savoir : À partir de 17h jusqu'à 20h, l'accès des salles dites tous publics (haut de jardin) de la BNF TOLBIAC est gratuit. Le WiFi aussi mais également PRESSREADER  un bouquet-base de données qui propose un maximum de titres de la presse et en "physique" salle B. Gratuité toute l'année pour les dudes et dudesses au RSA, ça va de soi : il ne faudrait pas oublier les hypocrisies, les miettes des feu socialos. On garde les palaces, le caviar, la coke les éphèbes, les mannequins et les squats, le tarama, la kéta, les chômeurs et les folles sont pour vous. Il y a d'autres Open Bar like, des films et des jeux vidéos sont en accès libre aussi salle A. De plus les salles sont climatisées. Les espaces publics sont agréables avec des distributeurs de lattes, moka et autre cafés. Les terrasses, salles de travail et mezzanine sont grandes, propices à la rêverie dudesque. Le cadre est zen, moderne 1984 ; du reste une série dystopique Tripalium a été filmé au sanctuaire de Tonton. Vous pouvez également, vous aventurer à la drague intello-cul-turel avec les étrangers et étrangères en vacances studieuses mais orgasmiques. Les parisiens et les parisiennes ne baisant plus que sur les sites de rencontres qui n'offrent jamais plus qu'un plaisir fugace pourront peut être vivre de nouveau une relation fusionnelle, auto-destructrice comme on les kiffe, depuis Les Romantiques et la pub 37.2 le matin. Voilà, vous pourrez aussi m'apercevoir arpenter les couloirs jusqu'à huit fois par jour, une journée sur trois, je suis en Résidence d'Artistes Sans Œuvres section Délinquants. Et oui, j'ai fauté avec l'art immatériel dont le pavillon SDH et sa flotte de blogs encore sur l'amer 2.0, deux OVNI'S littéraires et pas moins de 50 TS (Tentatives de Song) regroupées sous le corpus dénominatif de « 2000 What The Fuck » dont l'ADN pourrait ressembler aux molécules du fion ou la bouche d'un long vers nantais, un ténia mais tout le monde s'en fout, le ghetto cultureux préfère les suicidés, ils sont plus bankable et ils ont l'avantage de fermer leur gueule quand les reprises sont chiantes à mourir... Une deuxième fois. Mais BAISER AVEC UNE BOAT PEOPLE mon premier chant-parlé est sujet à une exposition à la rentrée sur les... migrants. Demandez à Laurent Quénéhen les dates et le lieu. Putain de Dieu mais heureusement qu'il existe lui. Les autres commissaires de l'art sont des larbins du bon goût bobo : l'investissement et le retour sur lui-même aka le salto libéral des suckers retombant toujours sur leurs pieds rarement tanqués. Mais... mais le téléphone sonne et je dois donner un cours de dudisme à L’École Nationale d’Art (ENDA). Note : je laisserai mon âme au dépôt légal de la BNF.