LA HYPE EN 2021

Depuis presque un an avec La Sainte Covid - je te remercie tous les jours pour éclairer ma lanterne bluetooth sur mon vide intérieur - c'est la grosse dèche niveau teufs branchouilles, les Open Bars2merde, les évènements où se déploie la nébuleuse de la... hype. Aieh! Le terme fail mal surtout en 2021.

On le sait et sur la mailing liste du SDH, on compense comme on peut avec des films et des rares teufs en appartements qui se finissent en psychodrame (pas assez de meufs pour les polylosers). Pour Guigui un nouvel abonné (mon voisin du premier étage), en gros flemmard, je recherche des articles concernant la ou le hype mais ce concept sociétal est maudit. La Society parisienne judéo chréti.nne ou l'autre suckeuz de Temples (raves veau d'or, DJ Jésus Superstar) baigne dedans avec un sentiment de culpabilité, tout à fait asymptomatique ou chez d'autres, incarné par des pustules type retour du refoulé et les articles sont rares. 

C'est quasi un sujet de philosophie ou de sociologie mais rarement traité parce que le wannabe philosophe ou sociologue doit surfer aussi sur cette vague pour ni-réussir. Il suck les réseaux de pouvoir (BHL en force) ce mouvement anonyme tel LE BLOB est opaque, complexe, multiformes et en parler, est tabou (demande à Eudeline) ou alors porter en ridicool - Beigbedouille et Ariel Bizzman sont ou ont été, maîtres pour rhabiller Le Roi Nu pour mieux le sucker - je viens de trouver un premier article. On va décortiquer le Cadavre ou plutôt la morte-vivante. J'ai écris ("spammé") pas mal de textes, un livre même un baise-sollers, possédés par une syntaxe speed - le web est ma kéta - c'était voulu pour brouiller les cartes, abattre Le Joker, le trickster en moi pour aller au-delà vers le dudisme et la pétanque (art zen).

En gros « La hype n'existe pas » chez les hypeux (prescripteurs de tendRance, clients VIP, entreprises de la com, pub, téloche cryptée, artistes contemporains, crevards de l'underground et cie...) Et puis un jour... les casseurs2hype sont apparus. Le remède est le dudisme mais j'aime toujours cracher dans la soupe, la bouffer et la revomir chââââudeuh (accent JL Murat) surtout que je suis désormais un salarié de la nuit, affranchi du succès, je me contente de peu matériellement. Seul le style, la mise en boite (en berne ?) et la vérité (Brrrr... merde alors c'est un complot en kit la veritas) me font bander. C'est mon vice, mon péché pas-mignon. C'est même bibi qui a lancé cet angle d'attaque dès 2001, ça aurait pu être un marronnier mais les journalistes sont frigides avec la Queen Hype. Seul un courageux a écrit un bouquin, Arnaud Sagnard VOUS ÊTES SUR LA LISTE ? ENQUÊTE SUR LA TYRANNIE DES BRANCHÉS. Tout le réseau parigot parisien lui est tombé dessus. 

Maintenant on lit Qu'est ce que la hype ? article scolaire juste sur l'empire du chiffon, c'est un début. Ensuite La hype en société : le dernier snobisme décrypté une tentative bisounours de Caroline Rochet que je connais de l'époque d'or du SDH (2002-2010). En fait, tout bon journaliste hyp.ok.hâgneux ou BAC+5 à Besançon ; donc un ambitieux, un presque initié, prêt à devenir un écrit-vain signé chez Gallimard se doit de théoriser gentiment sur la hype pour 150 boules le feuillet mais il doit absolument maitriser son ressentiment, rester cool ceux et celles qui n'arrivent pas, finissent mal en général... pauvre. Marc Edouard Nabe en connait un rayon. Houellebecq s'est toujours montré taiseux avec la hype parce qu'il a baigné dedans dès le début avec son entrisme guidé par Nicolas Bourriaud, JY Jouannais et Christophe Duchatelet (La Société Perpendiculaire) Tiens, Duchatelet avait écrit dans PALACE un portrait de moi, il était le seul de la bande à être profondément lucide sur ce phénomène et même pré-dude. Il a disparu des radars ou alors il écrit un livre dans le Sud.

A SUIVRE.