Zoo #3 chez Régine le 3 octobre (BYF)
Je ne sais pas ce que pense THAO de la rébellion
après son opération (+18 /gore)
mais dimanche Son Esclave va au...
ZOO CLUB / SOIRÉE LE 3 OCTOBRE 17H-02H
(BYF)
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Chez Régine, 49 rue de Ponthieu, 75008 Paris.
Line up : Larsson (Fumakilla, Hi Freaks, Rotary Cocktail / Berlin) Philipp Boston (Splendid Lo-Fi / Hamburg) Bronson (Kraakband / Barcelona) Youn Caro (Chats Perchés) Neet (Zoo Club) Warm Up Yvan Lak.
http://www.myspace.com/lezooclubdeparis
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REECRIRE / EXPOSITION
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L’exposition présentée par Réécrire rassemble deux photographes, Julien Soulier et Romain Araud travaillant sur le comportement animal. Coups de gueules, rébellions, les sujets se lâchent, crient. Ils reconnectent avec leurs instincts bestiaux. Les soirées Zoo sont elles aussi issues du même concept. Sons minimaux presque tribaux, les musiciens appellent à la recherche de pulsions primaires.
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Romain Araud, photographe
Après une première exposition au Babershop, Romain Araud présente un nouveau travail de recherche photographique. Son thème, l’homme hybride. Les personnages mutent, des plumes et poils poussent, des tâches et des crocs apparaissent. Transformations étonnantes mais toujours esthétiques, mi-homme, mi-aigle ; mi-léopard mi-porc-épic. Le photographe explore le cri. Arrêt sur image, l’homme hurle, le bruit est celui d’un grognement. Position de combat, l’homme attaque. Son instinct primaire le rattrape. La peau se durcit, le regard est féroce. Sous l’objectif de Romain Araud, l’homme devient prédateur.
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Julien Soulier
Julien Soulier débute en photographiant la rue, les habitudes urbai-nes qui sont la marque d’une façon de vivre. Il retranscrit des am-biances souvent crades, il explore les ruelles sales, les impasses l’inspirent. Puis il se focalise sur la femme et toutes les composi-tions que son corps offre. De la rue aux attitudes, le photographe cherche le reflet de comportements sociaux. Plus que la nudité fé-minine, qui ne choque plus, il cherche les positions qui interpellent et finalement l’explosion. Des femmes débraillées, déchirées aux cheveux tombants naît le paradoxe, les modèles se cachent, elles ne respectent plus le dictat. Qui sont elles ? Au-delà de la photo- graphie statique et lisse, de ce qui est imposé par les canons de la mode, le photographe trouve une posture de leur naturalité.
Communiqué de presse : Zoo3
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